Par la chair et le fouet

 

Châtiment. Elle sentit sur ses fesses, cette main vengeresse qui s’en vint la châtier… Son fin con aux délicates soies posé sur le genou rond et tiède de sa dive Maîtresse, elle commença à jouir sous chaque plat de main et la paume brûlante la venant fustiger… Une chaleur ardente peu à peu gagna là le fossé de ses jeunes fesses et s’étendit jusqu’à son fondement exposé à ce châtiment… Alors, elle gloussa, d’abord doucement, à toute petite voix, encourageant tout bas sa divine fesseuse et finit en petits cris de fausset, aigus, espacés, puis rapprochés, soutenus, mourants, du plus bel effet ; elle se tordit, popotin en furie, la chair fessière zébrée de l’empreinte des doigts et de la chevalière de la belle Officiante… Elle dansa sur les genoux de cette dernière, monta et descendit le derrière, ses jeunes tétons écrasés contre la brûlante cuisse de la fesseuse ; après, elle eût bien apprécié d’être prise par quelque godemichet de la lesbienne éprise de tant de jeunesse et beauté ainsi soumises…

Elle sentit son clitoris lentement se dresser tout contre le genou qui venait l’investir, le frottant à intervalle régulier correspondant à chaque emprise de la longue main retombant sur ses fesses… Elle jouissait la « drôlesse », ainsi toute soumise à la belle Prêtresse sur ses genoux la maintenant… Et même la Maîtresse se mit ici à jouir, yeux fermés, bouche ouverte, en proie à un plaisir qui venait l’envahir ; elle fessait, elle fessait ces belles et rondes fesses qui en cadence s’exhaussaient, en proie à des prouesses d’érotisme complet… Les deux femmes s’agitaient, pareilles à des faunesses sorties de quelque forêt, décoiffées et diablesses, toutes rouges, fesseuse comme Maîtresse tout autant excitées… Par instant, les longs doigts blancs de l’Officiante s’arrêtaient, caressaient, tapotaient, nonchalantes, la fessière culée et puis reprenaient leurs perverses averses sur les chairs enflammées… Alors, le cul s’exacerbait et dansait de plus belle, les bas crissaient, se tendaient les jarretelles, de petits cris montaient de la gorge de nos Oiselles, fesseuse et fessée jouissant toutes deux d’une même envolée… Le plaisir était là et parcourait ces chairs, cuisses à demi écartées et des frissons d’ivresse montaient, désordonnés depuis les genoux jusques aux fesses, gagnant les reins, la taille en longues frissonnées aux irisées et horripilantes caresses…

Quiconque eût vu ceci, eût été excité devant ces deux Diablesses à ces jeux occupées… Ainsi donc ce beau cul si bellement posé sur des cuisses superbes et finement gainées de la crissante soie de deux bas bien tirés, aurait-il donné à celui qui l’eût gentement contemplé quelque ardeur au boutejoie en sa culotte bien dressé ! Pour moi, ce fut le cas et les Belles point ne se gênaient pour me mettre aux abois et me faire bien bander… Si bien qu’à chaque fois que l jees vois ainsi disposées, je connais des émois que ne puis oublier… Il m’arrive parfois, ainsi donc inspiré, de tirer le boutejoie de mon habit serré et de le bien branler en contemplant ces belles envolées de main sur quelque cul, chaque fois qu’il m’est donné d’être témoin ému d’une pareille fessée… Merci donc à mes Belles à mes yeux exposées, je ne suis point ingrat et signe sur leurs bas de ma plume foutreuse…leurs ébats… 696969 L’Abbé fouettard Et voici donc le vicieux et débauché Curé qui se prend ici à fouetter quelque gentil pétard qu’on lui veut bien confier…

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Vacances

D’abord nanti de ses verges, il s’emploie à fustiger les vierges en sa Cure là invitées et quand les Belles n’en pouvant plus, cherchent là quelque cierge, il leur tend gentement « sa » verge pour ultime fouettée ! Ainsi donc bien disposées, sur un prie-dieu agenouillées ou bien au bord de quelque couche, elles reçoivent l’onction par le cul et le con, de sa bouche autant que de son…goupillon… Il les contemple et les touche, puis les fouette à nouveau, guette leurs cris, règle la cadence de ses verges et converge vers les culs et les cons, tapotant là les soies du petit cupidon tout fendu de cramois aux poils tout follets, les caresse à souhait, reçoit l’hostie du clitounet qui se dresse et flamboie, fouette à nouveau, écoute les voix des jeunes suppliciées toujours là aux abois…

 Belles et retroussées, elles font craquer le vieux bois du prie-dieu fatigué sous de tels ébats… Le goupillon sorti, il s’emploie à bander, bander de bon aloi et même à le frotter tandis que les culs ploient sous les verges abaissées…Parfois, ce sont les Belles par les plaisirs brisées qui prient là qu’on leur donne une belle envitée et puis qu’on les sermonne en confession privée ; elles sucent alors le vit, les couilles bien gonflées, le Curé les invitent à se bien disposer et le cul haut levé, l’on voit là les petites se donnant toutes entières d’âme et de derrière au Curé sodomite récitant ses prières en leur dos ; il encule, il envite et sait faire crier toute sa suite en offices pervers… peut-être qu’il refouettera de cette main de fer les filles asservies lui tendant leurs derrières, jusqu’à ce qu’elles crient, prosternées là à terre sous quelque crucifix…

Alors, le Curé les baise, tour à tour et elles prient, elles vivent leurs enfers, elles soufflent sur les braises, sucent bien le Curé qui confesse et déniaise des filles de Seigneurs comme des filles de ferme, bénissant de son sperme ces Belles en chaleur… Serait-il maudit ou bien est-ce un Sauveur, faisant juste synthèse entre croyance et moeurs ? L’autre jour quelque fille a accouché d’un mâle qui fut là baptisé peut-être par son…Père… Et puis, un jour, il mourut…et l’on a retrouvé bien cachées en ses murs, les verges du Curé, comme une signature…Elles avaient tant fouetté quelques vierges impures, qu’elles en étaient usées…elles finirent au brasier aux feux de la…Saint-Jean…Il en fut ainsi fait… Le Curé est en paix, ses Maîtresses à présent viennent ici prier, regrettant leur…Satan…qui les sut bien aimer…ainsi passent les Ans…les verges consumées furent cendres dans le vent…qui se sont envolées…

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